Seul l'avenir le dira

Par un doux jeudi après-midi dans le Transvaal du Nord, j'ai tué onze hommes, et la nation reconnaissante m'a décerné la Victoria Cross pour hauts faits d'armes. Depuis lors, je n'ai plus passé de nuit paisible.
Si j'avais tué un seul Anglais dans mon pays, un juge m'aurait condamné à la pendaison jusqu'à ce que mort s'ensuive.

Cette histoire n'aurait jamais été contée si je n'étais pas tombée enceinte. Remarquez j'avais toujours projetée de perdre ma virginité à l'occasion de l'excursion d'entreprise à Weston-super-Mare, mais pas avec cet homme en particulier.

Bien que les femmes de plus de 30 ans aient reçu le droit de vote aux dernières élections en récompense de leur travail efficace pendant la guerre dans les fabriques de munitions, elles passaient en dernier quand il s'agissait de les embaucher en temps de paix.

Une dame interrompit ses pensées. Subjugué, il vit la statue de la Liberté se profiler devant lui à travers la brume matinale. Il avait vu des photos de cette icône, mais elles ne permettaient pas de se rendre vraiment compte de sa taille, au moment où elle se dressait au-dessus du Kansas Star pour accueillir aux États-Unis ses compatriotes, les visiteurs et les imigrants.

"C'est parfois un avantage d'être désavantagé"

Clifton, dans la vie, on a ce qu'on mérite. Pas plus et certainement pas moins.

J'ai apprécié cette histoire de famille intrigante. La recette est suffisamment bonne pour nous donner le goût du deuxième que je m'apprête à lire. Ce livre est une preuve que ce n'est pas seulement l'argent qui triomphe, même si ça semble plus facile. L'Amour et la persévérance sont les plus belles qualités de l'espèce humaine.

[...]M. Holcombe lui rammela que son fils allait passer les cinq années suivante au lycée de Bristol. Ce serait le premier membre de la famille à ne pas quitter l'école dès l'âge de 14 ans, lui expliqua-t-elle.
Elle prit son courage à deux mains et retourna chez T. C. Marsh, Tailleurs de qualité.
Lorsque Harry fut équipé de pied en cap et prêt pour la rentrée des classes, Maisie avait déjà recommencé à aller au travail et à en revenir à pied, pour économiser cinq pence par semaine sur les tickets de tramway. Comme elle le dit à sa mère :
- Une livre par an. Ca permettra d'acheter un costume neuf à Harry.

-Jusqu'où ta t-elle laissé aller?
-Jusqu'au bout.
Harry resta bouche bée.
-Tu as...., finit-il par dire.
-J'ai quoi?
-Tu as...., répéta Harry.
-Oui?
-Tu l'as vue nue?
-Oui. Bien sûr.
-Tout son corps?
-Évidemment, dit Giles tandis qu'on plaçait une tasse de café devant Harry.
-Le bas comme le haut?
-Tout. Et je dis bien : tout.
-As-tu touché ses seins?
-J'ai même léché ses mamelons, précisa Giles en avalant une petite gorgée de café.
-Tu as fait quoi?
-Tu m'as bien entendu.
-Mais tu as fait?.... Je veux dire as-tu fait?....
-Oui. Je l'ai fait.
-Combien de fois?
-Je n'ai pas compté. Elle était insatiable. Sept fois, peut-être huit. Elle refusait de me laisser dormir. J'y serais toujours si elle n'avait pas dû se trouver au musée du Vatican à 10 heures pour servir de guide à une nouvelle bande de mioches.
-Et si elle tombe enceinte?

-Pourriez-vous venir me voir au Royal Hôtel cette après midi pendant votre pause? Si vous avez un petit quart d'heure à me consacrer.
-C'est comme quand on se plaint que les bus n'arrivent jamais lorsqu'on est pressé, dit Maisie à Mlle Tilly. Et d'un seul coup, il y en a deux qui arrivent en même temps.
Mlle Tilly répondit à Maisie qu'elle croyait avoir déjà vu M Frampton quelque part, sans se rappeler où, exactement.