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Critique de majero


Dans le Naples d'après guerre, Amerigo Speranza et d'autres enfants démunis sont envoyés dans le nord quelques mois auprès de familles d'accueil. Dans le train ils reçoivent des vrais souliers que personne n'a jamais mis avant et aussi un manteau mais le manteau ils le jettent par la fenêtre pour qu'il puisse servir à leur frère qui n'a pas pu partir.

Comme est touchante cette solidarité entre le nord et le sud, tellement belle que t'en deviendrais communiste;-)

Entre rires et larmes, cette aventure racontée avec toute la naïveté et la spontanéité d'un gosse mériterait à elle seule les cinq étoiles, mais Viola Ardone y greffe en plus la triste et brève relation d'Amerigo avec sa mère Antonietta, surtout généreuse en taloches, une relation complexe un peu responsable de ce qu'il est devenu.
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