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Critique de Zora-la-Rousse
Pour les amoureux des chats dont je fais partie, la couverture de ce roman est simplement irrésistible avec l'apparition de ce minois espiègle et mutin.
Et déjà, tout est décrit : j'allais me lancer dans la lecture des mémoires d'un chat.
Satoru, un jeune trentenaire dynamique, s'est pris d'affection pour un jeune chat de gouttière qui a pris l'habitude de s'installer régulièrement sur son monospace. Lorsque ce dernier se fait renverser par une voiture, ni une ni deux, le jeune homme prend en charge les soins vétérinaires et installe le précieux félin chez lui. Une très belle histoire tendre et complice se tisse alors entre Satoru et celui qui s'appellera désormais Nana. Un drôle de nom pour un chat non ? Plutôt logique en fait car cela signifie « sept » en japonais, référence à sa queue en forme de sept.
Au bout de quelques années, Satoru doit soudainement trouver une maison d'adoption pour son chat pourtant adoré, et ce, pour une raison inconnue. Commence alors une série de voyages auprès des potentiels adoptants qui ne sont pas moins que les meilleurs amis de Satoru, rencontrés au fil de ses années d'étude. Et l'occasion pour Nana de faire la connaissance successive de tous ces inconnus qui lui raconteront son maître comme il ne l'a jamais connu.
Une magnifique aventure humano-féline !
Quel petit bonheur que ce roman ! Un poil feel-good mais à la japonaise…
Découvrir ce chat peu ordinaire au fil des pages est un vrai plaisir, chaque périple entrepris nous fait découvrir le Japon comme une succession de cartes postales, mais plus encore la vie de nos deux protagonistes. C'est au-delà une ode rafraîchissante à l'amitié, un rappel au fait que la vie passe vite et qu'il faut profiter de chaque petit moment de bonheur qui s'offre.
Ça paraît basique non ? Mais c'est très bien amené. Surtout lorsque c'est Nana qui prend la parole...
Du coup, j'ai souri, j'ai pleuré aussi. Me suis fait avoir quoi ;)
Et déjà, tout est décrit : j'allais me lancer dans la lecture des mémoires d'un chat.
Satoru, un jeune trentenaire dynamique, s'est pris d'affection pour un jeune chat de gouttière qui a pris l'habitude de s'installer régulièrement sur son monospace. Lorsque ce dernier se fait renverser par une voiture, ni une ni deux, le jeune homme prend en charge les soins vétérinaires et installe le précieux félin chez lui. Une très belle histoire tendre et complice se tisse alors entre Satoru et celui qui s'appellera désormais Nana. Un drôle de nom pour un chat non ? Plutôt logique en fait car cela signifie « sept » en japonais, référence à sa queue en forme de sept.
Au bout de quelques années, Satoru doit soudainement trouver une maison d'adoption pour son chat pourtant adoré, et ce, pour une raison inconnue. Commence alors une série de voyages auprès des potentiels adoptants qui ne sont pas moins que les meilleurs amis de Satoru, rencontrés au fil de ses années d'étude. Et l'occasion pour Nana de faire la connaissance successive de tous ces inconnus qui lui raconteront son maître comme il ne l'a jamais connu.
Une magnifique aventure humano-féline !
Quel petit bonheur que ce roman ! Un poil feel-good mais à la japonaise…
Découvrir ce chat peu ordinaire au fil des pages est un vrai plaisir, chaque périple entrepris nous fait découvrir le Japon comme une succession de cartes postales, mais plus encore la vie de nos deux protagonistes. C'est au-delà une ode rafraîchissante à l'amitié, un rappel au fait que la vie passe vite et qu'il faut profiter de chaque petit moment de bonheur qui s'offre.
Ça paraît basique non ? Mais c'est très bien amené. Surtout lorsque c'est Nana qui prend la parole...
Du coup, j'ai souri, j'ai pleuré aussi. Me suis fait avoir quoi ;)
