Covenant, tome 3 : Eveil

daphné n'est pas morte, Alex. elle vit toujours sous la forme qu'elle a prise le jour où.... elle a disparu. un laurier.

les sentiments forcés finissent toujours en tragédie.

- Et toi, de quoi as-tu peur ? lui demandai-je à nouveau.
- Je crois que tu as dit un jour que je n'avais peur de rien, rétorqua-t-il.
- C'est vrai.
Aiden déplaça légèrement le poids de son corps et me caressa la joue avec son pouce.
- Il y a pourtant une chose qui me fait peur.
- Laquelle ? chuchotai-je.
Il prit une longue inspiration hachée.
- J'ai peur que les sentiments que j'éprouve ne me soient toujours interdits.

Les sentiments forcés finissent toujours en tragédie.

Eprouver de la peur n'est pas une faiblesse, Alex. C'est seulement le signe d'un obstacle que tu dois surmonter.

Pourquoi tout le monde croit que je vais prendre les Catskills d’assaut en mode spartiale?

« J’étais morte. Non. Non. Non. Je ne pouvais pas être morte. Je ne m’étais pas brossé les dents ! »

- Bon, on peut faire ça comme des gens civilisés ou employer la manière forte, dit Hadès, d'un ton tout à fait cordial.
Bizarrement, il avait l'accent britannique.
- Tout ce que je veux, c'est la fille.
Solos repoussa Deacon derrière lui contre le comptoir, et posa tranquillement ses cacahuètes et sa canette.
- Ça ne va pas être possible
Hadès haussa les épaules
- C'est parti pour la manière forte, alors.

- J'ai peu que les sentiments que j'éprouve ne me soient toujours interdit.

- Joyeuse Saint-Valentin, murmura-t-il.
Aiden me serra contre lui sans plus bouger, et par ce simple genre, il m'exprimait comme aucun mot n'aurait pu le faire à quel point nous étions ensemble dans cette aventure.