«
Le mal de mère » de
Rawia Arroum m'a replongée dans le plaisir de jeune adolescente dévorant des romans de littérature jeunesse.
J'ai apprécié le rythme du récit, les dialogues sachant utiliser l'humour noir, pour traiter d'un sujet difficile, celui du syndrôme de Münchhausen par procuration. Les personnages, de jeunes adolescents, aux qualités humaines à la fois fortes et discrètes pour aider Perl à vivre, sont attachants. Un roman qui alerte sur le fait que l'on peut aimer mal, ou bien.
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