Dans le miroir je me vois comme je suis, plutôt Sancho Pança avec des cheveux en désordre, des cernes de fatigue, une mauvaise humeur qui me plombe et ne semble plus jamais devoir finir. Un de ces matins où le problème n'est plus d'avoir raison à tout prix contre l'âge, les autres ou le temps, mais de trouver la force de se traîner dehors.
Pge 113/114