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Critique de Louise1200


Je dois avouer qu'avant d'avoir lu la critique de zabeth55 consacrée au livre Dites-lui que que l'aime, je n'avais jamais entendu parler de Clémentine Autain, la politicienne.
De sa mère, la comédienne Dominique Laffin, oui. A la fin des années 70 et au début des années 80, le cinéma français voyait apparaître une nouvelle génération d'actrices belles et rebelles, plutôt jeans et baskets que robes du soir et paillettes.
Trente ans après la mort de sa mère en 1985, à l'occasion de l'enterrement de la mère d'une amie, Clémentine Autain se décide à affronter le fantôme de sa mère.
A la demande de sa fille, qui a du mal à comprendre comment sa grand-mère a pu mourir à trente-trois ans, elle décide à regarder ses films et des documentaires qu'elle n'avait jamais voulu regarder ; à interroger ses amants, les réalisateurs avec qui elle a tourné, sa soeur, ses amies. Pour Dominique Laffin, le rôle de mère était le plus mauvais, celui qu'elle n'avait pas vraiment choisi. Entre son addiction à l'alcool et sa vie sentimentale chaotique, Clémentine Autain dresse un portrait de sa mère bien différent de celui de ceux qui n'ont gardé après sa mort que les bons souvenirs.
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