L'histoire d'un quartier qui apprend à s'unir et à se défendre dans des temps difficiles où pillages et meurtres pour un quignon de pain sont monnaie courante. Nous suivons une galerie de personnages attachants, de Parleur jusqu'à Vini, la narratrice, sans oublier le "Gros" qui tient Les Enseilvains, le bar qui est le centre vital du quartier. C'est bien raconté, le message humaniste transparaît, malgré les difficultés dans ces temps de disette. Mais voilà, j'ai eu l'impression d'avoir déjà lu cette histoire, de bien des manières différentes. On connaît la fin, le message, les péripéties, bref je n'ai pas été "embarqué" faute d'originalité.
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