Une peinture qui nourrit au sens littéral du terme! Quelle drôle d'idée sympathique de la part de
Marcel Aymé! J'ai eu plaisir à lire cette nouvelle. Les pages se tournent toutes seules tandis que nous avons le sourire au lèvres. Si l'histoire met un peu de temps à se mettre en place, les choses deviennent vite burlesque avec un peintre qui se fait nationaliser et la population recevant des tickets de rationnement pour aller voir ses oeuvres! Un monde étrange mais finalement pas si éloigné du notre quand on parle de nourriture et de faim de la population même si nous sommes pas dans les années après guerre lorsque
Marcel Aymé a écrit cette nouvelle qui avec cette donnée prend une nouvelle dimension.
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