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Critique de svecs
Premier livre de Mathieu Bablet, depuis très remarqué grâce à son excellent Shangri-La.
La Belle Mort est un récit post-apocalyptique original. Il se démarque par de belles ambiances et par une approche franchement originale.
Ils sont 3 à errer dans une ville en ruine.
Cela fait des mois, des années, qu'il n'ont croisé personne.
Le danger est partout. Des insectes mutants peuvent surgir à tout moment.
L'ambiance très sombre, presque mortifère. Les planches suinte le désespoir. Bablet, dans ce premier livre fait déjà preuve d'une belle maîtrise, même si je me rend come que, déjà dans ce livre et les 2 qui ont suivi, il pred un point de départ très similaire: le dernier de son espèce face à l'angoisse de la disparation.
Reste que son récit, plutôt ambitieux, devient plus confus dans la dernière partie. Il veut éviter de tomber dans un excès d'explication, souvent ennuyeux. Il finit par rester tellement vague que son dénouement en devient obscur. Par contre, les dernières planches sont très belles, tout en insufflant une dernière dose de mystère.
Pour un premier album, Bablet monrait déjà qu'il était un auteur à suivre. Si son Adrastée m'avait déçu, il a plus que confirmé avec Shangri-La.
La Belle Mort est un récit post-apocalyptique original. Il se démarque par de belles ambiances et par une approche franchement originale.
Ils sont 3 à errer dans une ville en ruine.
Cela fait des mois, des années, qu'il n'ont croisé personne.
Le danger est partout. Des insectes mutants peuvent surgir à tout moment.
L'ambiance très sombre, presque mortifère. Les planches suinte le désespoir. Bablet, dans ce premier livre fait déjà preuve d'une belle maîtrise, même si je me rend come que, déjà dans ce livre et les 2 qui ont suivi, il pred un point de départ très similaire: le dernier de son espèce face à l'angoisse de la disparation.
Reste que son récit, plutôt ambitieux, devient plus confus dans la dernière partie. Il veut éviter de tomber dans un excès d'explication, souvent ennuyeux. Il finit par rester tellement vague que son dénouement en devient obscur. Par contre, les dernières planches sont très belles, tout en insufflant une dernière dose de mystère.
Pour un premier album, Bablet monrait déjà qu'il était un auteur à suivre. Si son Adrastée m'avait déçu, il a plus que confirmé avec Shangri-La.
