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Critique de nathlectrice
« J'ai l'impression qu'en me défaisant de mon ancienne peau, celle du dessous me correspond vraiment. Je gratte, je creuse, je fore. Je cherche la transparence qui sera l'évidence ».
Comme bon nombre d'entre nous, sur la planète blogosphère, j'ai découvert Eparse, de Lisa Balavoine, magnifique premier roman grâce au bouche-à-oreille (je remercie bien sûr les deux amis qui se reconnaîtront sans aucun mal). J'ai très vite pressenti l'urgence de le lire. Intuition féminine (infaillible donc) dirons-nous. Ce qui fut fait. Deux fois. Oui, il m'a fallu deux lectures pour le savourer pleinement, comme il le mérite. Pour mieux me nourrir de ces morceaux de vie épars, en friche, qui me ressemblent tant !
J'ai plongé dans cet océan d'instantanés posés là, simplement là. Sur du papier. Avec cette impression de miroir, d'écho, de « mais c'est moi ! ». Avec ces larmes qui jaillissent , ces rires qui fusent (car ce roman est également très drôle). Avec cette impression étrange qu'en partageant mes fragments, je me sentirais moins éparse...
Lien : http://nathdelaude.canalblog..
Comme bon nombre d'entre nous, sur la planète blogosphère, j'ai découvert Eparse, de Lisa Balavoine, magnifique premier roman grâce au bouche-à-oreille (je remercie bien sûr les deux amis qui se reconnaîtront sans aucun mal). J'ai très vite pressenti l'urgence de le lire. Intuition féminine (infaillible donc) dirons-nous. Ce qui fut fait. Deux fois. Oui, il m'a fallu deux lectures pour le savourer pleinement, comme il le mérite. Pour mieux me nourrir de ces morceaux de vie épars, en friche, qui me ressemblent tant !
J'ai plongé dans cet océan d'instantanés posés là, simplement là. Sur du papier. Avec cette impression de miroir, d'écho, de « mais c'est moi ! ». Avec ces larmes qui jaillissent , ces rires qui fusent (car ce roman est également très drôle). Avec cette impression étrange qu'en partageant mes fragments, je me sentirais moins éparse...
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