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Critique de Sylvere
Cet ouvrage nous plonge dans une histoire peu connue, et pas du tout par moi, à savoir la venue en France par la contrainte de 20 000 indochinois pendant la Deuxième Guerre mondiale.
Une partie fut enrôlée dans l'armée mais la grande majorité était là pour travailler dans les usines d'armement notamment puis pour créer les rizières camarguaises.
Il furent maltraités, exploités et renvoyés en Asie quand ils ne furent plu jugés utiles, sans compensations.
C'est en découvrant l'existence de ces hommes que Pierre Daum s'est lancé dans une vaste enquête à la recherche des derniers survivants. Il en rencontrera une vingtaine et ce livre raconte l'histoire de ces hommes oubliés par la France et que l'auteur permet de faire revenir dans la lumière.
A la suite de son enquête, plusieurs monuments furent inaugurés pour que leur souvenir soit conservé.
Les faits étaient passionnants, j'ai eu un peu plus de mal avec la forme. La seconde partie notamment, avec la succession des portraits, m'est rapidement apparue rébarbative.
Mais cet ouvrage est nécessaire, pour que l'on n'oublie pas ces hommes amenés en France de force, exploités et rejetés ensuite.
Une partie fut enrôlée dans l'armée mais la grande majorité était là pour travailler dans les usines d'armement notamment puis pour créer les rizières camarguaises.
Il furent maltraités, exploités et renvoyés en Asie quand ils ne furent plu jugés utiles, sans compensations.
C'est en découvrant l'existence de ces hommes que Pierre Daum s'est lancé dans une vaste enquête à la recherche des derniers survivants. Il en rencontrera une vingtaine et ce livre raconte l'histoire de ces hommes oubliés par la France et que l'auteur permet de faire revenir dans la lumière.
A la suite de son enquête, plusieurs monuments furent inaugurés pour que leur souvenir soit conservé.
Les faits étaient passionnants, j'ai eu un peu plus de mal avec la forme. La seconde partie notamment, avec la succession des portraits, m'est rapidement apparue rébarbative.
Mais cet ouvrage est nécessaire, pour que l'on n'oublie pas ces hommes amenés en France de force, exploités et rejetés ensuite.
