J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans ce livre, d'autant qu'au tout début, un arbre généalogique aurait été bien utile pour comprendre la parenté entre les personnages.
J'ai insisté, j'ai fini la première partie et toujours aucune nouvelle de
la Rabouilleuse ! Il faudra attendre la page 188 (édition folio classique) pour voir apparaitre ce personnage et accessoirement, avoir la définition de ce qu'est une rabouilleuse.
Avec le début de cette partie deux, on laisse totalement de côté les personnages auxquels j'avais fini par m'habituer avec grand peine, pour en découvrir d'autres, dont
la Rabouilleuse. J'ai encore eu beaucoup de mal à rester concentrée sur l'histoire. Puis, les personnages du début viennent enfin se mêler aux personnages de la partie deux, mais ce n'est qu'à partir de l'arrivée de Philippe à Issoudun (page 314) que la lecture est vraiment devenue addictive, pour les 100 dernières pages donc.
Pour les fans des frères Bridau, on retrouve Joseph et Philippe dans
Illusions perdues et dans
Splendeurs et misères des courtisanes.
La Rabouilleuse est un roman étonnant tout de même qui nous parle peu de la noblesse ce qui est assez rare, sauf erreur, chez
Balzac.
C'est un roman un peu moraliste aussi et qui finit bien.
Balzac nous fait comprendre, dès le début, quel est le personnage vertueux et c'est pour lui que ce roman finit bien, un peu du style, ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants, étonnant chez
Balzac !
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