Comment marcher sans donner un regard à ces petites caisses oblongues, larges comme la pierre du parapet, et qui tout le long du quai stimulent les bibliophiles par des affiches collées sur des battoirs où se lisent ces décevantes paroles : « À vingt centimes, – à trente centimes, – à cinquante centimes, – à soixante centimes, – à un franc cinquante. » Ces catacombes de la gloire ont dévoré bien des heures aux poètes, aux philosophes et aux savants de Paris !
Combien de cinquante centimes dépensés devant les boîtes à vingt centimes !…
(p. 11-12, Chapitre 4, “Inconvénient des quais à livres ou les gloires en espalier”).
Le savant fut attiré vers le pont Royal par la curiosité, qui nous fait perdre plus de temps à Paris que partout ailleurs.
(p. 11-12, Chapitre 4, “Inconvénient des quais à livres ou les gloires en espalier”).
Dans ce mur, il existe une petite porte perdue, la fameuse petite porte du jardin, si nécessaire dans les drames, dans les romans, et qui commence à disparaître de Paris.
(p. 3, Chapitre 1, “Physionomie de la ville”).