Enthousiasmée par "
Alto braco",
en partie, par chauvinisme primaire,
relire
Vanessa Bamberger
me semblait aller de soi.
Je retrouve là, une romance bien ficelée
abritée par l'ile de Batz.
Mais surtout, ce même procédé
journalistico- littéraire, de pousser loin l'enquête
dans des territoires particuliers
et de la recracher en détails.
Après les vaches de l'Aubrac,
ce seront les algues, les laminaires de la Manche
et la technique de restauration de tableaux. ..
De vrais cours pour les nuls (dont je suis aussi)
nous seront dispensés jusqu'à plus soif.
Un amour contrarié,
comme il se doit..
Bref, pas vraiment l'ennui mais,
la lassitude d'une lecture sans relief.
Les iliens de Batz vont s'y retouver,
comme moi précédemment avec mes vaches.