À coups de chapitres courts et de phrases lapidaires,
Anaïs Barbeau-Lavalette retrace ici la vie de cette grand-mère qu'elle n'a que peu rencontrée dans sa vie et qui visiblement, la fascine. le personnage de Suzanne est, certes, inhabituel, mais ni attachant, ni héroïque. Il s'agit d'une femme blessée par une enfance pauvre qui abandonne froidement ses enfants pour rejoindre (plus ou moins) le mouvement artistique des automatistes québécois et vivre une vie de bohème.
J'ai été désarçonnée par des phrases très courtes, par un style haché et une héroïne autocentrée et qui, malgré les efforts de l'auteur pour l'humaniser, reste totalement inaccessible.
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