On tisse. Pour joindre, rejoindre, pour continuer, suivre et poursuivre. On tisse pour remplir les « blank » les manques. C'est un besoin. Mettre des mots.
Récit bouleversant que celui d'
Anaïs Barbeau-Lavalette. Celui de sa grand-mère maternelle qui décida de rompre le fil, sans retour.
C'est également un récit historique sur le Québéc du 20e siècle. La période Duplessis, la « Grande Noiceur ». Ordre moral, ordre nationaliste…. Censure.
il porte sur une partie de l' histoire du mouvement artistique et littéraire de celles et ceux que se nommaient " les automatistes", signataires du "Refus Global".
J'ai dévoré ce roman.
Astrid Shriqui GarainCommenter  J’apprécie         180