Haru est un riche marchand d'art, Il est entouré d'amis, de beauté, de quiétude mais il lui manque l'essentiel : sa fille Rose née d'une courte liaison avec Maud, une femme française.
Il a interdiction de la rencontrer (sa mère ne veut pas), il ne la connaît qu'à travers des photos. Et sa vie évidemment pâtit de cette absence…
Ce roman est le pendant d'
Une rose seule, de la même autrice. Après l'histoire de Rose, voilà celle de son père. On y retrouve l'écriture ciselée, japonisante de
Muriel Barbery, sa douceur aussi et son amour de la culture nippone, des contes et des présages. C'est une lecture paisible, touchante, mélancolique qui me donne (très) envie de relire
une rose seule au regard de ce nouvel opus.
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