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Critique de Colibrille
Il y a longtemps que je ne m'étais pas attaquée à un modeste pavé (550 pages) de fantasy. Séduite par la couverture, je me suis lancée dans la lecture de "Six of crows" sans vraiment connaître le pitch de l'histoire.
Je ne vais pas vous mentir, avant de me sentir enfin plongée dans l'histoire, le roman a failli me tomber des mains au bout d'une cinquantaine de pages, puis d'une centaine de pages et encore au moins une fois ! Il faut dire que l'univers de Leigh Bardugo ne se laisse pas apprivoiser facilement. Avant de trouver mes marques sur son "territoire", j'ai quelque peu erré...
L'auteure ne nous laisse guère le temps de s'imprégner de son univers riche et complexe. Certains éléments sont très détaillés tandis que d'autres sont complètement éludés. Dans les romans fantasy que je lis habituellement, l'Histoire de la ville, du royaume ou continent inventés, est généralement racontée au lecteur, au moins en partie. Ici, nous ignorons quasiment tout du passé de Kerch, Ravka et des autres villes formant l'univers du roman. Tout comme nous ignorons leur fonctionnement, leurs us et coutumes etc. Ici, l'auteure ne nous donne que peu de clés pour comprendre son univers. Je ne suis pas parvenue à me l'imaginer clairement, aussi bien ses "décors" que l'ambiance qui s'en dégage, ce qui est dommage.
En ce qui concerne les personnages, je les ai trouvé... spéciaux. Je serais bien en peine pour vous dire si je les ai apprécié ou non. Déjà, ils sont tellement nombreux qu'on a au départ du mal à s'y retrouver. Et ensuite, l'intrigue laisse finalement peu de place à "l'épanouissement" des relations entre eux.
Bien qu'un peu trop complexe à mon goût, j'ai pris plaisir à lire ce roman d'aventures, sorte d'Ocean eleven version fantasy moyenâgeuse !
Je ne vais pas vous mentir, avant de me sentir enfin plongée dans l'histoire, le roman a failli me tomber des mains au bout d'une cinquantaine de pages, puis d'une centaine de pages et encore au moins une fois ! Il faut dire que l'univers de Leigh Bardugo ne se laisse pas apprivoiser facilement. Avant de trouver mes marques sur son "territoire", j'ai quelque peu erré...
L'auteure ne nous laisse guère le temps de s'imprégner de son univers riche et complexe. Certains éléments sont très détaillés tandis que d'autres sont complètement éludés. Dans les romans fantasy que je lis habituellement, l'Histoire de la ville, du royaume ou continent inventés, est généralement racontée au lecteur, au moins en partie. Ici, nous ignorons quasiment tout du passé de Kerch, Ravka et des autres villes formant l'univers du roman. Tout comme nous ignorons leur fonctionnement, leurs us et coutumes etc. Ici, l'auteure ne nous donne que peu de clés pour comprendre son univers. Je ne suis pas parvenue à me l'imaginer clairement, aussi bien ses "décors" que l'ambiance qui s'en dégage, ce qui est dommage.
En ce qui concerne les personnages, je les ai trouvé... spéciaux. Je serais bien en peine pour vous dire si je les ai apprécié ou non. Déjà, ils sont tellement nombreux qu'on a au départ du mal à s'y retrouver. Et ensuite, l'intrigue laisse finalement peu de place à "l'épanouissement" des relations entre eux.
Bien qu'un peu trop complexe à mon goût, j'ai pris plaisir à lire ce roman d'aventures, sorte d'Ocean eleven version fantasy moyenâgeuse !
