Même si l'intrigue, bien ficelée, débouche sur le constat banal que les monstres sont moins monstrueux que les hommes, on s'intéressera au
Clive Barker créateur d'atmosphères, d'images, de scènes toutes extraordinaires. Son fantastique est celui de la chair, de la peau, du corps fragile et fort, et de l'appétit. Même les esprits, ou les êtres les plus proches du spirituel, sont de chair, et son Baphomet, par exemple, est voisin sous terre de créatures physiquement innommables.
Cabal est un beau roman.
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