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Critique de Erbe
A partir d'un tableau "L'homme en rouge", Julian Barnes évoque Samuel Pozzi, docteur pionnier de la chirurgie et de la gynécologie de la fin du 19ème siècle mais aussi la bonne société de l'époque.
On croise les personnalités dont les noms sont encore connues aujourd'hui. On plonge dans les intrigues, les scandales, les arrangements politiques et les aventures amoureuses qui traverse la France, l'Europe, les Etats-Unis.
Ce n'est pas une biographie détaillées de Pozzi, ce n'est pas une enquête, ce n'est pas un roman et j'ai été un peu surpris par cette forme hybride qui m'a fait posé le livre quelque temps avant de le reprendre après d'autres lectures.
Julian Barnes profite du tableau de "L'homme en rouge" et de la personnalité de Pozzi pour lui aussi peindre son tableau , celui d'un monde et d'une époque.
C'est habile, très riche, on y apprend, mine de rien, plein de choses sur ce monde d'hier.
Mais je ne suis pas complètement entré dedans.
On croise les personnalités dont les noms sont encore connues aujourd'hui. On plonge dans les intrigues, les scandales, les arrangements politiques et les aventures amoureuses qui traverse la France, l'Europe, les Etats-Unis.
Ce n'est pas une biographie détaillées de Pozzi, ce n'est pas une enquête, ce n'est pas un roman et j'ai été un peu surpris par cette forme hybride qui m'a fait posé le livre quelque temps avant de le reprendre après d'autres lectures.
Julian Barnes profite du tableau de "L'homme en rouge" et de la personnalité de Pozzi pour lui aussi peindre son tableau , celui d'un monde et d'une époque.
C'est habile, très riche, on y apprend, mine de rien, plein de choses sur ce monde d'hier.
Mais je ne suis pas complètement entré dedans.
