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Critique de Les_Lectures_du_Maki
Après Visite Fantôme, Bob, Textile futé, est la seconde nouvelle de Luce Basseterre à être publiée aux Editions 1115 et le second texte que je lis de l'autrice.
Alors que Visite Fantôme était un texte fantastique autour d'une maison hantée, Bob, Textile futé est un texte de Science-Fiction orienté sur l'Intelligence Artificielle. Et dans les deux cas, j'ai exactement le même ressenti : une belle ambiance, des descriptions précises, une plume de qualité très visuelle et une histoire intéressante qui fait "flop" dans son dénouement !
Difficile d'en dire beaucoup sur un si court texte sans en dévoiler l'essence. Un styliste de mode très pointu s'associe avec un ingénieur spécialisé dans les nanotechnologies pour créer un tissu intelligent, (le fameux Bob, du titre) qui peut imiter n'importe quel autre textile et habiller chichement son porteur. Les deux associés ont chacun leur propre vue de l'utilisation de leur invention. Quand l'artiste le considère comme une oeuvre d'art, son alter ego la voit comme une manne financière...
Les deux premiers tiers de la nouvelle sont intrigants à souhait et plutôt originaux mais malheureusement il y a une rupture dans le récit. Celui-ci s'arrête net, reprend quelque temps plus tard concluant l'histoire dans une sorte de long épilogue pas très crédible, plutôt confus. Dommage !
Lien : https://les-lectures-du-maki..
Alors que Visite Fantôme était un texte fantastique autour d'une maison hantée, Bob, Textile futé est un texte de Science-Fiction orienté sur l'Intelligence Artificielle. Et dans les deux cas, j'ai exactement le même ressenti : une belle ambiance, des descriptions précises, une plume de qualité très visuelle et une histoire intéressante qui fait "flop" dans son dénouement !
Difficile d'en dire beaucoup sur un si court texte sans en dévoiler l'essence. Un styliste de mode très pointu s'associe avec un ingénieur spécialisé dans les nanotechnologies pour créer un tissu intelligent, (le fameux Bob, du titre) qui peut imiter n'importe quel autre textile et habiller chichement son porteur. Les deux associés ont chacun leur propre vue de l'utilisation de leur invention. Quand l'artiste le considère comme une oeuvre d'art, son alter ego la voit comme une manne financière...
Les deux premiers tiers de la nouvelle sont intrigants à souhait et plutôt originaux mais malheureusement il y a une rupture dans le récit. Celui-ci s'arrête net, reprend quelque temps plus tard concluant l'histoire dans une sorte de long épilogue pas très crédible, plutôt confus. Dommage !
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