Hommage médiocre et personnel à cette très belle BD noir et blanc et noire,
du sein de laquelle ne pointe que peu d'espoir
Quand on arpente la Ville,
On y croise
Arthur Rimbaud :
C'est sombre, froid, difficile
Mais que ce langage est beau
Puis vient l'Education
Onirique passion
Celle d'une Rencontre
Aussi impossible qu'un conte
Une vie inutile ?
De celles que la Mort elle-même distille
en prenant La balle au bond,
se moquant de nos ambitions
Celle de Georges Pourcellier
pourtant bien né
ne pouvant hélas échapper
à Charon le Nocher
Et même l'Immigration
Étonnant vu la date de publication
est décrite comme La maladie
du beau, la peau . . . le gris.
Commenter  J’apprécie         410