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Critique de Deco
Voilà un vrai roman, d'espionnage, de politique (fiction ?).
Pour la partie politique française, il s'agit d'un roman à clef.
Si je crois reconnaître Nicolas Sarkozy dans le président, je n'ai malheureusement pas assez de connaissance pour décrypter qui est qui. Sans doute y a-t-il Dominique de Villepin, peut-être Bernard Kouchner ? D'autres lecteurs éclaireront-ils ma lanterne ?
Passons.
Pour la partie action proprement dite, les arcanes des services secrets.
On rencontre le héros, Théo Zeldner qui s'est retiré du service pour être, depuis dix-sept ans, moine dans un monastère cistercien.
D'où il est extrait par Neumann, son mentor.
J'ai apprécié que l'auteur n'insiste pas trop lourdement sur son mysticisme au cours de la mission.
Il repart au Kivu, pays toujours agité par les bandes et les armées, avec le souvenir des massacres Hutu – Tutsi.
En principe pour une « simple » enquête autour d'un sextuple meurtre lié au permis d'exploitation d'une mine de coltan.
Bientôt épaulé par une négociatrice, ils tentent de dénouer le sac de noeuds.
Puis intervient Barbara, son amour de jeunesse, actuellement 3ème de la CIA.
Elle le sauve en l'exfiltrant.
Mais là où le récit perd de vraisemblance, c'est lors de la rencontre finale où l'homme de main confesse son ancien maître.
Sinon, une lecture addictive, même s'il faut s'accrocher pour retenir qui est qui dans les salons du pouvoir.
Pour la partie politique française, il s'agit d'un roman à clef.
Si je crois reconnaître Nicolas Sarkozy dans le président, je n'ai malheureusement pas assez de connaissance pour décrypter qui est qui. Sans doute y a-t-il Dominique de Villepin, peut-être Bernard Kouchner ? D'autres lecteurs éclaireront-ils ma lanterne ?
Passons.
Pour la partie action proprement dite, les arcanes des services secrets.
On rencontre le héros, Théo Zeldner qui s'est retiré du service pour être, depuis dix-sept ans, moine dans un monastère cistercien.
D'où il est extrait par Neumann, son mentor.
J'ai apprécié que l'auteur n'insiste pas trop lourdement sur son mysticisme au cours de la mission.
Il repart au Kivu, pays toujours agité par les bandes et les armées, avec le souvenir des massacres Hutu – Tutsi.
En principe pour une « simple » enquête autour d'un sextuple meurtre lié au permis d'exploitation d'une mine de coltan.
Bientôt épaulé par une négociatrice, ils tentent de dénouer le sac de noeuds.
Puis intervient Barbara, son amour de jeunesse, actuellement 3ème de la CIA.
Elle le sauve en l'exfiltrant.
Mais là où le récit perd de vraisemblance, c'est lors de la rencontre finale où l'homme de main confesse son ancien maître.
Sinon, une lecture addictive, même s'il faut s'accrocher pour retenir qui est qui dans les salons du pouvoir.
