L'éternité c'est long surtout vers la fin !
Comme il avait raison
Woody Allen à moins que ce ne soit
Franz Kafka, la paternité de la maxime semble indéterminée.
Je n'avais pas été passionné par "La machine de
H G Wells" mais, considérant son époque de publication, j'avais relativisé ma déception.
Ces 600 pages de pastiche que nous inflige Baxter furent un véritable calvaire.
Le style, si tant est que le traducteur l'ait bien restitué, imite à la perfection son prestigieux prédécesseur, bravo!
Si c'était là l'objectif de l'auteur, il est atteint mais quelques pages auraient suffit car pour le reste, une redite sans réel intérêt de l'original et qui n'en fini pas de finir.
Quel ennui !!
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