Sur ma route

C’est triste, mais tu dois te concentrer sur les personnes présentes dans ta vie, celles sur lesquelles tu peux compter. Pas sur celles qui te font faux bond à la première difficulté rencontrée.

Parfois, il y a des choses qui n’ont pas besoin de mots.

J'ai appris à mes dépens que le ressentiment tue de l'intérieur, sans être constructif ni salvateur. C'est donc sans intérêt d'en éprouver.

La route sera longue, mais c'est comme ça. Tu peux trébucher et attendre que quelqu'un t'aide à te relever ou bien décider que tu es assez forte pour te relever toute seule et pour continuer à avancer.

Tu dois te concentrer sur les personnes présentes dans ta vie, celles sur lesquelles tu peux compter. Pas sur celles qui te font faux bond à la première difficulté rencontrée.

Les gens sont mal à l'aise face à la mort. Ils ne savent pas comment gérer la situation. Et ils s'excusent, comme si c'était leur faute.

Quand on commence à mentir, on s'enfonce un peu plus dans le sentier sinueux du mensonge, pour ne plus savoir ce qu'on a dit, à qui on l'a dit. Quand on commence à mentir, c'est difficile de revenir en arrière.

Il y a des choses dans la vie qui ne s'expliquent pas. C'est comme ça c'est tout.

Je baisse mes lunettes sur mon nez. Je me sens mieux avec, capable d’observer le monde sans que lui ne me voie.

Je suis en train d’apprendre que les gens sont mal à l’aise face à la mort. Ils ne savent pas comment gérer la situation. Et ils s’excusent, comme si c’était leur faute.