L'auteur ayant réchappé d'un long coma, évoque la souffrance, l'absence, la mort, la famille et Dieu, se laisse aller au gré de ses souvenirs, convie sa défunte mère, ses chiens, ses frères et soeurs à l'accompagner dans la maladie.
Même si la langue est belle et assez poétique, j'ai beaucoup de mal à accrocher à ce que j'ai reçu comme des divagations, des états d'âmes.
Il reste une réflexion sur la vie et une impression d'humanité, celle des sentiments ordinaires, celle des liens d'amitié, d'amour.
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