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Critique de domisylzen
Ces deux-là n'avait rien en commun, rien qui ne les prédestinait à se rencontrer.
D'un côté Martinien, représentant en aspirateurs un peu spéciaux, maigrichon et allergique à tout, surtout aux endives et de l'autre Carême, restaurateur de tableaux, à l'embonpoint très très prononcé.
En pleine nuit Martinien percute un daim, peu après il prend une jeune femme en stop mais celle-ci disparait rapidement. Il la retrouvera sur son lit de mort à son rendez-vous suivant.
Pour se remettre de ses émotions il s'arrête à une auberge un peu particulière. L'ambiance est lourde, la seule place disponible est en face d'un mastodonte à l'appétit féroce mais au coeur et la sensibilité particulièrement développés. Les premières minutes se révèlent glaciales mais grâce à un chien, la conversation va se nouer et ils vont vite se trouver des centres d'intérêts communs.
Une solide amitié va s'établir et un long voyage commence.
C'est un très belle BD, les dessins sont originaux et transpirent d'émotions. L'univers est à la limite du fantastique et le rendu général est très réussit.
Une histoire d'amitié sur fond de solitude, il y a peu d'action mais c'est au détriment de la mise en place des rapports entre les deux humains et du catalyseur qu'est le chien Ferdinand.
Apparemment cette une série de quatre tomes, j'ai hâte de découvrir les suivants.
D'un côté Martinien, représentant en aspirateurs un peu spéciaux, maigrichon et allergique à tout, surtout aux endives et de l'autre Carême, restaurateur de tableaux, à l'embonpoint très très prononcé.
En pleine nuit Martinien percute un daim, peu après il prend une jeune femme en stop mais celle-ci disparait rapidement. Il la retrouvera sur son lit de mort à son rendez-vous suivant.
Pour se remettre de ses émotions il s'arrête à une auberge un peu particulière. L'ambiance est lourde, la seule place disponible est en face d'un mastodonte à l'appétit féroce mais au coeur et la sensibilité particulièrement développés. Les premières minutes se révèlent glaciales mais grâce à un chien, la conversation va se nouer et ils vont vite se trouver des centres d'intérêts communs.
Une solide amitié va s'établir et un long voyage commence.
C'est un très belle BD, les dessins sont originaux et transpirent d'émotions. L'univers est à la limite du fantastique et le rendu général est très réussit.
Une histoire d'amitié sur fond de solitude, il y a peu d'action mais c'est au détriment de la mise en place des rapports entre les deux humains et du catalyseur qu'est le chien Ferdinand.
Apparemment cette une série de quatre tomes, j'ai hâte de découvrir les suivants.
