Fake fake fake

Edvard est un adolescent allemand complexé par son physique, harcelé par un camarade de classe et amoureux de Constance, une fille de sa classe. Pour se rapprocher d'elle, il créé un faux profil sur Facebook et se fait passer pour Jason, un américain de 16 ans au physique parfait. Son stratagème fonctionne, et même trop bien, car Constance semble très attirée par Jason. Ne pouvant plus supporter cela, Edvard annonce la mort de Jason en se faisant passer pour un membre de sa famille. En parallèle, il se lie d'amitié avec son voisin, M. Tannenbaum, un mystérieux professeur d'université. Ses mensonges sur Facebook vont-ils le rattraper ?

L'histoire n'est pas tout à fait celle à laquelle on s'attendrait quand on lit la 4e de couverture. le faux compte Facebook et ses conséquences passent au second plan à partir du moment où il "tue" Jason et qu'il rencontre le professeur Tannenbaum. À partir de ce moment, on passe dans un roman réaliste plus classique.
Le protagoniste est assez agaçant, il râle beaucoup, pense beaucoup trop au physique (le sien et celui des autres), se plaint de ses parents, il parle de se suicider tout le temps. Un adolescent pénible qui n'évolue pas spécialement au long de l'histoire...
Les autres personnages développés sont sa mère et Tannenbaum. On apprend que sa mère a un passé d'anarchiste. Son personnage change assez radicalement en peu de temps. Tannenbaum a une histoire plus douleureuse liée à la seconde guerre mondiale et la spoliation des juifs. Tous les autres personnages ne sont pas développés si bien qu'on ne développe pas une grande empathie avec eux : Henk, Constance, son père, Arthur, Karli, ...

Le gros point négatif est l'absence de remise en question de l'arnaque d'Edvard. Même si c'est pour une bonne cause, arnaquer les gens en faisant croire à une mort pour leur extorquer de l'argent sur les réseaux sociaux ne devrait pas être sans conséquence. Même Tannenbaum a l'air d'accepter sans se poser de question le don alors que la mère d'Edvard avait trouvé une façon de financer la maison en toute légalité. J'aurais préféré que l'autrice développe plus les risques de mentir et d'emprunter une fausse identité.
À part ça, le livre se lit très facilement (un peu moins de 2 heures) et on a quand même envie de savoir comment ça va se terminer.

Franchement trop bien. Il se lit vite et sans problème, drôle et touchant. Un petit livre pour décompresser ou penser à autre chose. D'autant plus que l'écriture ne prend pas toute la page et que, puisque c'est écrit sous forme de journal intime avec un jour = une page, il y a certaines pages à peine remplies à la moitié. Alors on avance à une vitesse fooolle. L'histoire est certes assez prévisible mais je ne la lisais pas pour la surprise, juste pour sa légèreté d'écriture. Très agréable à lire ! Ne vous attendez pas à la grande aventure d'un personnage torturé par son mensonge, vraiment. Et ça m'a bien fait rire.

Roman sympathique pour ado sur les réseaux sociaux, l'amitié et l'engagement.
Edvard, 14 ans, est mal dans sa peau trop grande et pas assez musclée d'ado. Il a peu d'ami et pour séduire la populaire Constance, il crée un profil Facebook d'un jeune et beau américain. Mais la situation finit par dépasser Edvard…
Je viens de lire ce livre sur les conseils d'un garçon de 15 ans qui m'a expliqué que c'était le premier roman qu'il avait aimé (et lu en entier). Mais j'ai mis du temps à rentrer dans l'histoire. Il y a pourtant des éléments intéressants : la relation entre Edvard et son vieux voisin, les parents en pleine remise en question existentielle, le côté parfois surréaliste des réseaux et les prémisses de l'engagement politique chez des ados. A conseiller à ceux qui veulent lire des histoires faciles d'ados d'aujourd'hui (même si Fb est un peu périmé auprès des jeunes).

Je n'ai pas trop aimé ce livre. C'est une oeuvre qui devait évoquer les réseaux sociaux mais au lieu de cela le livre parle d'un jeune collégien nommé Edvard qui a la tête dans les étoiles ( en effet car il aime l'astronomie ), qui n'a pas de succès auprès de celle qu'il aime, Constance, et de son voisin qu'il déteste ( alors que sans le savoir c'est l'auteur de son livre préféré ) . Les seuls moments où le livre évoque le thème de base c'est de la page 20 à environ la page 100 . Point positif : le livre est facile à lire même pour ceux qui ne sont pas de grands lecteurs et c'est plutôt simple de se mettre à la place d' Edvard .

C’est l'histoire d'un garçon qui n'est pas bien dans son corps :
il a une voix de fille, il est grand et mince et n'a pas de poils sur le torse et sur le visage. C'est une histoire simple à comprendre, calme, sans trop de rebondissements au début. ( c’est plus intéressant au milieu du livre ) .
Je n'aime pas beaucoup le personnage de Henk, il est arrogant. A l’inverse j’aime bien le personnage de Edvard : il est franc mais se préoccupe beaucoup du regard des autres. Le voisin de Edvard me fait rire aussi. Il a un rôle important au cours de l'histoire qui dérive un peu du thème des réseaux sociaux
Conclusion : je trouve que c'est un très bon livre.

Dans la lignée du "Journal d'un dégonflé", mais sans les dessins (ce qui est dommage, car cela aurait pu être sympa), voici Edvard. Ce jeune Allemand à la vie plutôt morne s'est inventé un profil plus réjouissant sur le Net, trop intéressant peut-être, car son contrôle va lui échapper.
Mais cet événement n'est qu'une face du récit; d'autres péripéties de tous ordres fusent et, malheureusement, perdent un peu le lecteur... Cela donne un résultat sympathique, mais fouillis. Toutefois, je ne suis pas sûre que cela gêne le public à qui est destiné ce roman joyeux et bourré de bonnes intentions. A proposer donc aux jeunes dès 12 ans pour une lecture légère et divertissante.

Un peu déçue par ce livre. L'histoire est bien écrite mais la fin choisie ne correspond pas à ce que j'en attendais . En voyant le titre Fake et le résumé, on s'attend à une chute un peu moins heureuse qu'une histoire où tout finit bien pour tout le monde et tout le monde est heureux. Non, la réalité est que des personnes essayent de se faire passer pour d'autres sur Internet et cela ne se finit jamais bien. J'aurais aimé que le livre soulève les problèmes éthiques et moraux d'un tel acte et surtout les dangers d'Internet. Un ado lisant ce livre ne comprend pas les enjeux et les impacts si il utilise lui-même une fausse identité sur le web. Dommage !

Quand on s'appelle Edvard, qu'on chausse du 49, qu'on a des parents décalés et un voisin bizarre dont le caniche mine le trottoir tous les jours, comment avoir une vie sentimentale épanouissante ??? Sans compter sur Henk, le caïd du collège, qui ne manque pas d'en rajouter une couche à la moindre occasion. Alors Edvard décide de créer un faux profil Facebook : désormais il s'appelle Jason, bel étudiant américain. Et quand Jason devient trop encombrant, pas de soucis il "décède" d'une tragique erreur médicale. Mais la machine s'emballe et Edvard se retrouve contraindre à mentir toujours plus pour ne pas décevoir la belle Constance, bien décidée à venger la mort du pauvre Jason...

Un nouveau livre sur les réseaux sociaux, fortement humoristique mais qui montre bien les dérives de ces relations virtuels. Rédigé sous forme de journal, c'est un roman facile à lire, léger, irréaliste mais ce n'est pas ce qu'on en attend. Collégiens et lycéens pourront y trouver leur bonheur.
Lien : https://www.facebook.com/322..

Zoë Beck raconte l'histoire d'Edvard, un jeune collégien amoureux de Constance, la fille populaire de sa classe, et martyrisé par Henk, le gars à la mode.
Le jeune ado est terriblement gêné de ne pas avoir de poils sur le torse et sa vie tourne autour de faux profils Facebook qu'il a créés pour pouvoir entrer en contact avec Constance.
Heureusement qu'au détour d'une déjection canine, il fait la connaissance de M. Tannenbaum, vieux voisin astrophysicien qui va chambouler son existence de collégien et lui redonner l'appétence pour les sciences qu'il avait perdue en classe.
Ce dernier bouleverse considérablement sa vie intellectuelle en même temps que Kali, une fille pas comme les autres, le touche émotionnellement.

Un roman non dénué d'humour qui fait réfléchir sur les "Fakes" des réseaux sociaux, la "mode" végétarienne, le harcèlement au collège, etc.
J'ai lu ce livre sans déplaisir mais aussi sans réelle appétence.

Je n'ai pas trop aimé se livre car je ne me suis pas pris à l'histoire

Mouais....bof...voilà les mots qui me viennent en refermant ce livre, un peu trompée sur la marchandise...
J'avais bien compris qu'une partie de l'histoire se passait sur les réseaux sociaux, facebook notamment. Mais je reste sur ma faim..l'histoire m'a quelque peu déstabilisée car tout ne se passe pas sur facebook. L'histoire en elle même n'est pas mal, à savoir se servir des réseaux sociaux pour lancer un appel au don, mais c'est un peu léger de ne montrer que ce joli côté des choses. L'auteure aborde tout de même des sujets sensibles : les fausses identités qui existent, le harcèlement à l'école mais de façon très légère.

Pour résumer c'est l'histoire d'un ado pas très à l'aise dans sa peau, amoureux d'une fille inaccessible et qui va redécouvrir son voisin, qu'il détestait jusqu'ici, peu de temps avant d'apprendre que celui-ci est menacé d'expulsion. Dés lors, il va essayer de trouver le moyen d'empêcher ça et s'appuyer de manière assez inattendue sur « Jason" le profil qu'il s'invente sur facebook.
Le récit est raconté sous forme de journal intime très facile à lire.

Alors que nous passons notre temps à mettre en garde les jeunes sur les dangers qui peuvent exister sur les réseaux, jamais l'usage du faux profil n'est remis en question et cela me gène.