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Critique de Lagagne
Le mot "amour" est étrange dans ce titre,et m'a trompé. Car le moins que je puisse dire, c'est que je n'ai vu aucun amour ici.
Un père meurt. Un homme associable (au moins) se retrouve à la rue. Et là une sorte d'attachement bizarre se produit avec une prostituée. Elle, je n'ai pas compris pourquoi elle s'est entichée de lui. Il est tellement détaché de tout, plein de manies, sans vraiment de respect pour elle. Juste opportuniste. Au début elle l'attire, et cela l'intrigue. Mais ce qui fait déclic c'est le pratique : elle a deux chambres.
L'écriture est maîtrisée, les mots choisis et efficaces. Mais je suis restée un peu extérieure à ce Premier amour absurde.
Un père meurt. Un homme associable (au moins) se retrouve à la rue. Et là une sorte d'attachement bizarre se produit avec une prostituée. Elle, je n'ai pas compris pourquoi elle s'est entichée de lui. Il est tellement détaché de tout, plein de manies, sans vraiment de respect pour elle. Juste opportuniste. Au début elle l'attire, et cela l'intrigue. Mais ce qui fait déclic c'est le pratique : elle a deux chambres.
L'écriture est maîtrisée, les mots choisis et efficaces. Mais je suis restée un peu extérieure à ce Premier amour absurde.
