Après
le gone du chaaba,
Azouz Begag continue de nous émouvoir avec ce roman
Béni ou le paradis privé, un récit de jeunesse où il y décrit entre autre les discriminations subies par une partie de la population non européenne au cours des années soixante-dix.
Nous suivons le quotidien du jeune Ben Abdellah qui préfère qu'on l'appelle Béni, français de naissance mais de parents algériens, amoureux d'une fille au doux nom de France. Une histoire assez poignante et comme souvent avec les oeuvres de cet auteur franco-algérien, le coup de coeur est toujours assuré.
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