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Critique de lalahat
Truffé de métaphores et plein de poésie, le court roman d'Azouz Begag se savoure comme une pastèque un jour de canicule. Son personnage, à tête de pastèque, précisément, raconte une semaine de vacances à Ouessant avec ses deux filles. Il porte sur les événements de sa vie un regard plein d'humour et d'autodérision. On ne peut qu'éprouver de la sympathie pour ce papa tiraillé entre deux cultures. Il trouve à Ouessant une sorte de no man's land où il parvient à se rapprocher de ses filles, dans une sorte de parenthèse enchantée.
