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Critique de Delivresmoi
Après avoir découvert et adoré l'écriture de Mathieu Belezi avec son "Petit roi", j'avais hâte de me plonger dans ce roman agrémenté des peintures du peintre Kamel Khélif.
Cette fois, Mathieu Belezi nous emmène en Algérie, où nous suivons un capitaine français et quel personnage. le capitaine Vandel est tout simplement horrible. Il arrive en grand maître et tue hommes, femmes, enfants sur son passage, brandissant le drapeau français, se faisant servir et protéger par un grand nègre turc et une troupe de soldats violents mais aussi terrifiés. Vandel n'a aucune morale, sinon celle de son bon plaisir.
"Au temps des crocodiles" est un roman historique éclairant, qui exacerbe l'esprit colonialiste qui régnait à cette époque et montre la barbarie subie par les civils. Les populations locales sont décimées, les femmes évidemment violées, de nouvelles règles sont imposées et qu'importe si elles ne sont pas adaptées à la région.
Je vous recommande vraiment ce roman, qui vaut tant pour l'écriture, que pour l'histoire et les peintures qui permettent de nous plonger entièrement dans le cadre : le désert, la poussière,...
Je compte bien retrouver l'affreux capitaine Vandel dans "Moi, le glorieux", paru simultanément.
Cette fois, Mathieu Belezi nous emmène en Algérie, où nous suivons un capitaine français et quel personnage. le capitaine Vandel est tout simplement horrible. Il arrive en grand maître et tue hommes, femmes, enfants sur son passage, brandissant le drapeau français, se faisant servir et protéger par un grand nègre turc et une troupe de soldats violents mais aussi terrifiés. Vandel n'a aucune morale, sinon celle de son bon plaisir.
"Au temps des crocodiles" est un roman historique éclairant, qui exacerbe l'esprit colonialiste qui régnait à cette époque et montre la barbarie subie par les civils. Les populations locales sont décimées, les femmes évidemment violées, de nouvelles règles sont imposées et qu'importe si elles ne sont pas adaptées à la région.
Je vous recommande vraiment ce roman, qui vaut tant pour l'écriture, que pour l'histoire et les peintures qui permettent de nous plonger entièrement dans le cadre : le désert, la poussière,...
Je compte bien retrouver l'affreux capitaine Vandel dans "Moi, le glorieux", paru simultanément.
