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Critique de BRUMANT


O muets cimetières en vos tristes allées, je hurle, je crie; je crie, me lamente et dans le silence j'entends le livre du sable, il interroge la pierre. Sous l'étreinte de l'absence, j'entends un sanglot. La lune éclaire la terre ocre de ton village. Une terre qui bouge. Une main te pousse tout doucement. C'est le 1er livre de cet auteur que je lis. Les murs sont froids. Tu voulais résister, mais la peur t'inonde. La nuit est une prairie.Ils ont dépose sur ton ventre une dalle de marbre noir. La nuit es une prairie d'étoiles. La dalle pèse une tonne. Ils téléphonent. Tu t'es même habitue à son contact froid. Es tu fou ? Et la douleur? Elle est passé de l'autre côté. Tu chantes un petit chant berbère. Je me souviens d'un musée berbère dans la vallée tant dévoyée de l'Ourika ou à Marrakech.
Moha dormait dans son arbre perché, il tenait dans son bec un fromage. Je crois que j'avais lu un article sur la polémique de la bonne marocaine que l'auteur aurait utilisé. Je l'avais vu lors du prix reçu par Leila Slimani. Moha est le plus fou de tous. Je déterre les morts et venez danser sur la cime des arbres. Être l'arbre et la source , je suis seul. Je donnerai mes yeux à la gazelle . Mais la gazelle ne veut rien voir. La mémoire du peuple marocain est l'araignée de mon enfance. La pierre de la démence vient d'Abidjan.
Je tiens un grand commerçant arabe. ce livre me fait penser au livre de Kamel Daoud Zabor un marocain contre un algérien. le sexe, le sexe ! Les enfants. Je suis l'arbre mort de tritesse. C'est satan qui est en moi. M milliard c'est moi c'est toi. La vie ne se contente pas que de mots. La motte de terre te masse les reins. Tu as longtemps vécu sans aimer. J'aime la mer et les matins taches d'ambre et d'ombre. Reclus je l'utilisais avec l'oubli. Terre sacrée d'où nous sommes sortis. Demain une balle peut t ‘arrêter ou te tuer avec Harrouda.
En quête d'amour, je vis avec un herbe rare. Je suis le ruisseau dans la tête, comme la flèche. Je continue d'aimer l'aube, avec un sceau d'eau sale. de la menthe du temps avec la traversée des apparences
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