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Critique de Cristie
Judith a dix-sept ans lorsqu'elle obtient son bac et part pour l'université. Elle goûte à la liberté dans sa petite chambre pour la première fois loin de la pesanteur d'un entourage familial où le père règne en maître tel un despote. Surgit alors une voix qui va la bouleverser, lui donner envie de poser les armes, d'ouvrir son corps et son coeur. Alain !
Dans une magnifique écriture fluide et poétique, Jeanne Benameur nous conte l'histoire de l'éveil d'un corps à la sensualité et à l'amour. Un amour éclot et s'épanouit brisant les barrières qu'elle s'était forgée une à une, la révélant à elle même et provoquant une prise de conscience intime qui la conduira à lutter. Dans le même temps naît une prise de conscience politique et une envie de se battre pour intégrer une société en plein bouleversement après mai 68.
Judith refuse la passivité et la soumission des femmes. Elle s'enrichit dans la littérature, elle s'enrichit dans la parole partagée comme dans le partage de pensées, s'engage dans la lutte non pour fuir mais marquer son refus.
C'est beau ! C'est un récit très intime que nous livre l'auteure qui devait avoir l'âge de Judith en 1970. Peu importe au fond c'est un roman touchant !
Lien : http://depuislecadredemafene..
Dans une magnifique écriture fluide et poétique, Jeanne Benameur nous conte l'histoire de l'éveil d'un corps à la sensualité et à l'amour. Un amour éclot et s'épanouit brisant les barrières qu'elle s'était forgée une à une, la révélant à elle même et provoquant une prise de conscience intime qui la conduira à lutter. Dans le même temps naît une prise de conscience politique et une envie de se battre pour intégrer une société en plein bouleversement après mai 68.
Judith refuse la passivité et la soumission des femmes. Elle s'enrichit dans la littérature, elle s'enrichit dans la parole partagée comme dans le partage de pensées, s'engage dans la lutte non pour fuir mais marquer son refus.
C'est beau ! C'est un récit très intime que nous livre l'auteure qui devait avoir l'âge de Judith en 1970. Peu importe au fond c'est un roman touchant !
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