J'ai toujours trouvé que les petites heures du matin devraient être moins flippantes que la nuit noire.
Mais c'est con. La lumière ne change rien, en fait. Il se passe aussi de sales choses, la journée.
Il se passe tout le temps de sales choses.
Les sales choses ne se soucient de rien d'autre.
Pourquoi les méchants sont toujours les plus doués pour manier des armes mortelles ? Ça m'agace.
Je ne peux lui offrir la paix, mais je peux lui offrir la justice.
- Chaque histoire est importante.
- C'est faux. Vous en avez la preuve ici.
- ... Chaque histoire est importante.
Je sais que je devrais numériser tout ça, mais après ils veulent que tu mettes tout sur le cloud, et c’est quoi le cloud, sinon l’ordi de quelqu’un d’autre ?
Avant, je pensais que c'était mal de savourer ce genre d'instant. Comme si je ne les méritais pas.
Ensuite, j'ai su que je les méritais, mais j'étais pétrifiée par l'idée que reconnaître les belles choses de la vie... être heureuse... allait me porter la poisse et tout faire disparaître.
Aujourd'hui, je sais à quel point c'est important de profiter du bon, par(ce que le mauvais me trouvera inévitablement.
- Jessica, je suis le Dr Stephen Strange. Je suis ravi de vous rencontrer. Tout va bien se passer. J'ai mis au monde le dernier bébé des Avengers.
- Oui. Celui de Vision et Wanda.
- J'espère que ça se passera mieux pour elle.
...
Mince, ça paraissait plus intelligent dans ma tête que dans ma bouche.
- J'en doute.
Dans cent ans, quand nous serons tous morts et enterrés, les gens ne retiendront que deux choses à notre sujet. Nos actes. Et notre look.
Elsa : Épée ou hache, Jones ?
Jessica : Hm. Choisis.
E : Tu m'as l'air plutôt du genre hache.
J : ... Merci ?
Jessica : Ok, on ne peut pas s'asseoir une seconde avant que tu partes ? Peut-être se prendre un café, je sais pas ?
Elsa : Ce que je mets dans ce sac, ça te paraît quelque chose d'anodin, Chérie ? Quelque chose qui peut attendre ?