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Critique de Yvan_T
Le troisième tome des nouvelles aventures de ce héros en kilt qui vit le jour en 1978 dans le journal Spirou, de l'imagination de Desberg et du crayon de Benn (André Beniest), marque l'arrivée d'un troisième luron ; Yves Brunschwig, venu assister son frère au scénario.
Ce troisième tome démarre une nouvelle histoire, dans un nouvel environnement, tout en poursuivant l'histoire du premier diptyque. Les décors écossais on fait place aux tranchées de la première Guerre Mondiale. Notre enquêteur en kilt, Mic Mac Adam, va tenter d'établir le lien entre le massacre d'une vingtaine de personnes, une mutinerie au sein de l'armée française et des clowns, tout en essayant de retrouver Vickie, dont l'avion s'est écrasé tout près du front.
Une affaire bien étrange qui, tout comme la précédente, démarre sous forme d'une enquête policière et trouve son dénouement au sein du fantastique. Une première partie plus lente, parsemée d'indices, suivie d'une deuxième moitié d'album qui se dévore à grande vitesse. La fin, qui pèche un peu dans la facilité en puisant dans le fantastique, est probablement plus haletante, alors que le début, ancré dans un environnement plus réaliste, est probablement plus "intéressant". le tout reposant sur le talent narratif de Brunschwig.
Au niveau du graphisme, le dessin d'André Benn, rehaussé par les couleurs de Color Twins, continue d'offrir un contraste agréable entre la noirceur et la gravité du récit et la légèreté de ce style qui nous gratifie de personnages dignes de récits humoristiques. Un contraste qui caractérise cette excellente série.
Ce troisième tome démarre une nouvelle histoire, dans un nouvel environnement, tout en poursuivant l'histoire du premier diptyque. Les décors écossais on fait place aux tranchées de la première Guerre Mondiale. Notre enquêteur en kilt, Mic Mac Adam, va tenter d'établir le lien entre le massacre d'une vingtaine de personnes, une mutinerie au sein de l'armée française et des clowns, tout en essayant de retrouver Vickie, dont l'avion s'est écrasé tout près du front.
Une affaire bien étrange qui, tout comme la précédente, démarre sous forme d'une enquête policière et trouve son dénouement au sein du fantastique. Une première partie plus lente, parsemée d'indices, suivie d'une deuxième moitié d'album qui se dévore à grande vitesse. La fin, qui pèche un peu dans la facilité en puisant dans le fantastique, est probablement plus haletante, alors que le début, ancré dans un environnement plus réaliste, est probablement plus "intéressant". le tout reposant sur le talent narratif de Brunschwig.
Au niveau du graphisme, le dessin d'André Benn, rehaussé par les couleurs de Color Twins, continue d'offrir un contraste agréable entre la noirceur et la gravité du récit et la légèreté de ce style qui nous gratifie de personnages dignes de récits humoristiques. Un contraste qui caractérise cette excellente série.
