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Critique de Gwen21
Premier volet de la sage "Les Dames du Méditerranée-Express", "la Jeune Mariée" nous raconte l'histoire de Mélanie, 15 ans, adolescente gauche et fleur bleue, confiée aux bons soins d'une gouvernante allemande depuis sa plus tendre enfance et vivant quasiment cloîtrée au fin fond de la demeure familiale afin de ne pas faire d'ombre, en grandissant et en embellissant, à sa coquette maman qu'on pourrait décrire en synthèse comme une cougar n'assumant pas ses premières rides.
Bien, revenons-en à notre héroïne dont le charme, pour moi, réside tout entier dans sa naïveté car pour être naïve, elle l'est, Juliette Benzoni n'a pas fait les choses à moitié en nous donnant à suivre, par monts et par vaux, cette touchante oie blanche dont le caractère et le tempérament s'affirmeront au fil des pages.
Le récit est original et sort du canevas habituel de la romance benzonienne, ce qui n'est pas non plus pour me déplaire, j'aime être surprise. J'aime aussi les histoires de train et le tiers le plus important du livre se passe dans le fameux PLM, anciennement baptisé le Méditerranée-Express. Si vous êtes enfant du rail, à vous les délices des compartiments luxueux et des wagons-restaurants distingués !
De toute la saga (qui comprend trois tomes qui, une fois n'est pas coutume, n'ont qu'un lien infime entre eux (vous ne retrouverez pas Mélanie par la suite, vous la laisserez pour ainsi dire à la dernière page de ce premier opus)), c'est ce roman que j'ai préféré, les deux autres m'ont laissée indifférente voire m'ont ennuyée.
Bien, revenons-en à notre héroïne dont le charme, pour moi, réside tout entier dans sa naïveté car pour être naïve, elle l'est, Juliette Benzoni n'a pas fait les choses à moitié en nous donnant à suivre, par monts et par vaux, cette touchante oie blanche dont le caractère et le tempérament s'affirmeront au fil des pages.
Le récit est original et sort du canevas habituel de la romance benzonienne, ce qui n'est pas non plus pour me déplaire, j'aime être surprise. J'aime aussi les histoires de train et le tiers le plus important du livre se passe dans le fameux PLM, anciennement baptisé le Méditerranée-Express. Si vous êtes enfant du rail, à vous les délices des compartiments luxueux et des wagons-restaurants distingués !
De toute la saga (qui comprend trois tomes qui, une fois n'est pas coutume, n'ont qu'un lien infime entre eux (vous ne retrouverez pas Mélanie par la suite, vous la laisserez pour ainsi dire à la dernière page de ce premier opus)), c'est ce roman que j'ai préféré, les deux autres m'ont laissée indifférente voire m'ont ennuyée.
