En ce mois de mai, Ouagadougou a la pépie. Les habitants croulent sous une chaleur implacable. Le barrage n°2 est à sec. Il faut faire entre cinq et huit kilomètres à pied, deux fois par jour, pour aller puiser un peu d'eau... Deux semaines plus tard, en juin, le même barrage menace d'inonder tout le quartier. Au Burkina-Faso, les pluies sont capricieuses. Il en tombe un cinquantaine par an, inégalement réparties dans le temps et dans l'espace. Orages et averses se ...
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