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Critique de Viracocha
Aujourd'hui, je viens vous parler d'un livre que j'ai lu en anglais dans son édition originale, mais qui est également disponible en français. Il s'agit de The Malta Exchange, de Steve Berry (Le dernier secret du Vatican en VF).
Même si je l'ai lu en anglais, je ne pense pas qu'il y ait une grosse différence par rapport à une lecture en français. En effet, l'intrigue articulée autour des compétences de Cotton Malone est semblable à d'autres romans de l'auteur, trop peut-être à mon goût. Je dois avouer que si j'ai accroché sur les premiers chapitres où il y avait de l'action, du rythme, du suspense, une quête et des références historiques, je trouve qu'au fil des pages le suspense a perdu en intensité.
J'ai largement préféré ma dernière lecture de cet auteur sur le livre qui s'articulait autour de Martin Luther King. Cette fois-ci, le personnage historique de départ est Mussolini, qui aurait été concerné par un secret qui implique le Vatican et l'ordre de Malte, plus précisément les Secreti, les mains armées de cet ordre.
La force de ce roman, c'est le fait que Steve Berry utilise l'histoire, son imagination et ses personnages pour émettre une critique et proposer des pistes de réflexion sur l'influence de la religion sur nos esprits, sur la manipulation de ces têtes pensantes au fil des siècles. C'est ce que j'ai trouvé de plus intéressant dans ce livre, même si c'est un thème qu'il a déjà abordé dans d'autres de ses romans.
Cela dit, si quelqu'un lisait Steve Berry pour la première fois avec ce livre, peut-être que le ressenti serait différent, il faut dire que j'ai quasiment lu tous ses livres et j'ai l'impression que l'auteur s'essouffle un peu.
Néanmoins, lire un livre de Steve Berry, ça reste particulier, ce mélange d'action, d'aventure, d'espionnage, de réflexion et d'histoire... Même si je ressors mitigé de cette lecture, je pense que c'est un auteur très talentueux.
Voilà, voilà !
Même si je l'ai lu en anglais, je ne pense pas qu'il y ait une grosse différence par rapport à une lecture en français. En effet, l'intrigue articulée autour des compétences de Cotton Malone est semblable à d'autres romans de l'auteur, trop peut-être à mon goût. Je dois avouer que si j'ai accroché sur les premiers chapitres où il y avait de l'action, du rythme, du suspense, une quête et des références historiques, je trouve qu'au fil des pages le suspense a perdu en intensité.
J'ai largement préféré ma dernière lecture de cet auteur sur le livre qui s'articulait autour de Martin Luther King. Cette fois-ci, le personnage historique de départ est Mussolini, qui aurait été concerné par un secret qui implique le Vatican et l'ordre de Malte, plus précisément les Secreti, les mains armées de cet ordre.
La force de ce roman, c'est le fait que Steve Berry utilise l'histoire, son imagination et ses personnages pour émettre une critique et proposer des pistes de réflexion sur l'influence de la religion sur nos esprits, sur la manipulation de ces têtes pensantes au fil des siècles. C'est ce que j'ai trouvé de plus intéressant dans ce livre, même si c'est un thème qu'il a déjà abordé dans d'autres de ses romans.
Cela dit, si quelqu'un lisait Steve Berry pour la première fois avec ce livre, peut-être que le ressenti serait différent, il faut dire que j'ai quasiment lu tous ses livres et j'ai l'impression que l'auteur s'essouffle un peu.
Néanmoins, lire un livre de Steve Berry, ça reste particulier, ce mélange d'action, d'aventure, d'espionnage, de réflexion et d'histoire... Même si je ressors mitigé de cette lecture, je pense que c'est un auteur très talentueux.
Voilà, voilà !
