Il y a certainement ici en ce château du Cayla, une énergie diffuse qui nus autorise à être en écriture. Ce n'est peut-être pas valable pour tous les lieux d'écrivains mais ici se ressent une véritable harmonie entre les poèmes épars dans le parc et l'acte d'écrire.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.