Nous allons tous vers notre destin. Personnellement, j'ai du mal à me satisfaire du hasard. Nous sommes tous, les êtres vivants, les humains comme les autres, emportés et ballottés dans la grande roue de l'existence. On croit maîtriser mais on ne contrôle rien. Et puis, parfois plus tôt que prevu, la mort vient prélever sa dîme. C'est ainsi. Pour les passagers du
Paris-Briançon comme pour les autres. Accepter les forces qui nous dépassent. Voilà l'enjeu. Il n'y a rien d'autre que le sens que nous y mettons.Merci
Philippe Besson pour cette piqûre de rappel.
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