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Critique de Mamzellegazelle
*** La théorie des six degrés de séparation ***
Chacun d'entre nous avons un jour ou l'autre rencontré par hasard une personne méconnue qui connaissait un ami, un membre de notre famille, un endroit où, nous-même, avions vécu ... et c'est là qu'on dit : "Comme le monde est petit !"
Et c'est à ce moment là qu'un réseau humain se met en marche.
Cette théorie, jusqu'au sixième degré, Antoine Cavallero, étudiant en statistiques mathématiques, a choisi d'en faire sa thèse de doctorat, en démontrant l'idée que toute personne connait quelqu'un qui connait quelqu'un qu'on connait .... Cette théorie peut nous relier à n'importe quel individu sur notre planète.
Lors de la Conférence de Presse, Antoine est pris de haut par un scientifique arrogant qui le met au défi de lui donner un nom, une date de naissance et un endroit, et qu'il sera dans l'impossibilité de prouver que la théorie du sixième degré de séparation est possible.
Ce challenge va faire voyager Antoine aux quatre coins du monde afin de réaliser cette chaîne humaine.
La Théorie des poignées de main, reste un petit roman pour passer un bon moment lors du farniente estival.
La première partie du roman, jusqu'à la découverte du quidam est haletante, puis l'exhalation retombe ensuite à mon goût.
Je regrette également la pauvreté du style de l'écriture de Fabienne Betting, qui je remarque, est souvent le cas dans la littérature contemporaine. C'est pour cela que je classe ce roman pour "le moment chaise longue, soleil et cigales".
Bravo toutefois pour le choix de la couverture du livre qui de suite nous fait voyager.
Merci à Babelio pour cette opération Masse Critique Privilégiée et aux Editions Les Escales.
Chacun d'entre nous avons un jour ou l'autre rencontré par hasard une personne méconnue qui connaissait un ami, un membre de notre famille, un endroit où, nous-même, avions vécu ... et c'est là qu'on dit : "Comme le monde est petit !"
Et c'est à ce moment là qu'un réseau humain se met en marche.
Cette théorie, jusqu'au sixième degré, Antoine Cavallero, étudiant en statistiques mathématiques, a choisi d'en faire sa thèse de doctorat, en démontrant l'idée que toute personne connait quelqu'un qui connait quelqu'un qu'on connait .... Cette théorie peut nous relier à n'importe quel individu sur notre planète.
Lors de la Conférence de Presse, Antoine est pris de haut par un scientifique arrogant qui le met au défi de lui donner un nom, une date de naissance et un endroit, et qu'il sera dans l'impossibilité de prouver que la théorie du sixième degré de séparation est possible.
Ce challenge va faire voyager Antoine aux quatre coins du monde afin de réaliser cette chaîne humaine.
La Théorie des poignées de main, reste un petit roman pour passer un bon moment lors du farniente estival.
La première partie du roman, jusqu'à la découverte du quidam est haletante, puis l'exhalation retombe ensuite à mon goût.
Je regrette également la pauvreté du style de l'écriture de Fabienne Betting, qui je remarque, est souvent le cas dans la littérature contemporaine. C'est pour cela que je classe ce roman pour "le moment chaise longue, soleil et cigales".
Bravo toutefois pour le choix de la couverture du livre qui de suite nous fait voyager.
Merci à Babelio pour cette opération Masse Critique Privilégiée et aux Editions Les Escales.
