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Critique de Laureenandbooks
" Hôpital psychiatrique de Gaustad, Oslo. À l'aube d'une nuit glaciale, le corps d'un patient est retrouvé étranglé dans sa cellule, la bouche ouverte dans un hurlement muet. Dépêchée sur place, l'inspectrice Sarah Geringën le sent aussitôt : cette affaire ne ressemble à aucune autre…
Et les énigmes se succèdent : pourquoi la victime a-t-elle une cicatrice formant le nombre 488 sur le front ? Que signifient ces dessins indéchiffrables sur le mur de sa cellule ? Pourquoi le personnel de l'hôpital semble si peu à l'aise avec l'identité de cet homme interné à Gaustad depuis plus de trente ans ?
Pour Sarah, c'est le début d'une enquête terrifiante. "
Avis livresque 💉 :
C'est mon premier roman de l'auteur et j'ai adoré cet univers. L'auteur n'a de cesse de questionner des points qui nous apparaissent pourtant comme des évidences pour nous amener à réfléchir différemment. Ces réflexions parfois existentielles nous permettent de prendre conscience de l'absurdité de la vie mais également de se questionner sur la possibilité d'une vie après la mort 💀💀💀
En outre, l'auteur exhume des faits de l'histoire américaine quelque peu passés sous silence comme les expérimentations menées sur des humains dans les années 1950-70 dans le cadre du projet MK Ultra. Ce projet poursuivi par la CIA avait pour finalité de développer des techniques de contrôle et de programmation de l'esprit. Il a, au final, fait l'objet d'une interdiction au début des années 1970. Cependant ces faits historiques me font froid dans le dos 🥼🧪
Au-delà de l'aspect historique qui emprunte à la réalité, j'ai beaucoup aimé suivre Sarah qui sera obligée de s'allier à Christopher, un journaliste d'investigation français, qui au départ est totalement étranger à l'affaire du meurtre du patient 488. Cependant au fur et mesure de l'histoire, les masques se lèvent, et les deux protagonistes vont être amenés à faire équipe et s'entraider dans une course contre la montre afin de tenter de sauver une vie. Leur seule mission sera la suivante : découvrir la vérité sur le projet 488 et sur sa finalité.
Et les énigmes se succèdent : pourquoi la victime a-t-elle une cicatrice formant le nombre 488 sur le front ? Que signifient ces dessins indéchiffrables sur le mur de sa cellule ? Pourquoi le personnel de l'hôpital semble si peu à l'aise avec l'identité de cet homme interné à Gaustad depuis plus de trente ans ?
Pour Sarah, c'est le début d'une enquête terrifiante. "
Avis livresque 💉 :
C'est mon premier roman de l'auteur et j'ai adoré cet univers. L'auteur n'a de cesse de questionner des points qui nous apparaissent pourtant comme des évidences pour nous amener à réfléchir différemment. Ces réflexions parfois existentielles nous permettent de prendre conscience de l'absurdité de la vie mais également de se questionner sur la possibilité d'une vie après la mort 💀💀💀
En outre, l'auteur exhume des faits de l'histoire américaine quelque peu passés sous silence comme les expérimentations menées sur des humains dans les années 1950-70 dans le cadre du projet MK Ultra. Ce projet poursuivi par la CIA avait pour finalité de développer des techniques de contrôle et de programmation de l'esprit. Il a, au final, fait l'objet d'une interdiction au début des années 1970. Cependant ces faits historiques me font froid dans le dos 🥼🧪
Au-delà de l'aspect historique qui emprunte à la réalité, j'ai beaucoup aimé suivre Sarah qui sera obligée de s'allier à Christopher, un journaliste d'investigation français, qui au départ est totalement étranger à l'affaire du meurtre du patient 488. Cependant au fur et mesure de l'histoire, les masques se lèvent, et les deux protagonistes vont être amenés à faire équipe et s'entraider dans une course contre la montre afin de tenter de sauver une vie. Leur seule mission sera la suivante : découvrir la vérité sur le projet 488 et sur sa finalité.
