FRANCE GALL
Page 158 : Pierre Lescure, amateur avisé, remarque que c’est la première fois en France, qu’un public chante pareillement « Je me souviens de Palais des Sports et d’autres concerts où je suis sidéré, car d’un seul coup des voix cristallines de jeunes adolescentes et d’énormément de jeunes femmes chantent avec France. Des salles entières debout chantent avec juste le piano ‘Tout pour la musique ‘, tous les grands titres de France, plus tard, tout le monde en pleurs chantera ‘Evidemment ‘, ‘La minute de silence’. Les briquets, tout ça vient de lui, c’est Michel qui l’a inventé ici »…
VERONIQUE SANSON
Page 81 : A mes débuts on me reprochait ma façon de chanter. On m’appelait Michel Bergé-é-é. Quant à Véronique, on disait qu’elle chantait comme une chèvre. Comme j’étais le berger, ça tombait bien, remarque.
Enfance/Son père après son opération
Page 24 : Il n’a en effet rien perdu de ses immenses facultés, ou les récupère très vite comme en témoignent les secrétaires qu’il séduit, mais surtout la suite de sa carrière qui le verra publier encore une vingtaine d’ouvrages de philosophie comme de médecine…. Mais coupera brutalement et définitivement les ponts avec sa famille du jour au lendemain, sans explications.
Enfance/Sa mère
Page 22 : Mon premier souvenir de piano, c’est Maman, bien sûr. Quand j’avais trois ans, il y avait deux pianos l’un dans l’autre à la maison. Nous jouions à quatre mains. J’ai pris des leçons, j’en garde un souvenir épouvantable. J’ai arrêté à l’âge de treize ans.