Lorsque l’âme et le corps s’accordent dans leur rectitude, ils obtiennent dans une joie unanime des récompenses suprêmes.
Si tu décides de courir vers Dieu, c’est lui qui t’aidera.
Quand l’homme a compris le bien et le mal, il enferme le bien dans le secret de son cœur et il rejette le mal loin de lui.
Les esprits des fidèles montent comme les nuées de vertu en vertu, et lorsque l’amour et l’humilité les considèrent et les protègent avec diligence, ils accèdent avec persévérance et douceur aux plus hauts désirs.
L’esprit est lien de la volonté et du désir.
L'homme n'est pas dominé par le mal tant qu'il refuse d'y succomber ; c'est quand il accomplit le mal qu'il en est l'esclave.
L’humilité ne détient rien, elle maintient tout au sein de l’amour, c’est en son sein que Dieu se penche vers la terre, et c’est par elle qu’il rassembla toutes les vertus.
Ô homme, regarde l’homme. En effet, l’homme contient en lui le ciel et la terre et les autres choses créées, et il est une forme unique, et en lui tout cela est caché.
Dieu a de très nombreux mystères, qu'il ne révèle pas sinon une infime partie, et de la façon qui lui plaît et quand il le veut.
Le bonheur rétorque à l’affliction : « […] Tu n’attends rien de Dieu, aussi ne reçois-tu rien de lui. Moi, j’appelle Dieu haut et fort, et j’accepte sa réponse ; je lui demande quelque chose, et dans sa bonté, il m’accorde ce que je veux ; je le cherche, et donc je le trouve.