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Critique de Damsha
Je pense qu'il n'y a pas assez de caractères disponibles dans un post pour parler correctement de la puissance et de la beauté de cette BD. Je vais donc essayer de faire court même si je pourrai expliquer pendant des heures à quel point “Anaïs Nin : Sur la mer des mensonges” est un coup de coeur.
Écrit et illustré par Léonie Bischoff, ce roman graphique raconte avec brio le cheminement intérieur de l'écrivaine et diariste au début de sa vie d'adulte, en passant de ses questionnements amoureux à ses interrogations créatrices.
Je connais Anais Nin de nom mais je n'ai jamais lu ses journaux. J'ai trouvé que cette BD était un excellent moyen de faire sa connaissance. On y découvre une femme sensible, complexe et perpétuellement en questionnement sur la créativité, sur sa relation aux autres et particulièrement aux hommes.
Le propos du livre est sublimé par le style graphique de Léonie Bischoff qui insuffle à ses pages un vent de poésie, de sensualité et de douceur, à l'image de son héroïne et de ses multiples facettes. Chaque page est une prouesse visuelle et mérite de longues minutes d'attention. C'est tellement fluide et expressif ! L'onirisme qui se dégage des illustrations nous permet d'être en empathie totale avec l'héroïne. J'ai été subjuguée comme rarement !
En découvrant ce roman graphique j'ai eu l'occasion de faire deux belles rencontres : Anais Nin, une artiste libre et sensuelle dont je vais m'empresser de découvrir ses journaux et Léonie Bischoff une autrice brillante dont je me promets de suivre le travail de très près.
Sans conteste l'une de mes découvertes préférées de 2020.
Écrit et illustré par Léonie Bischoff, ce roman graphique raconte avec brio le cheminement intérieur de l'écrivaine et diariste au début de sa vie d'adulte, en passant de ses questionnements amoureux à ses interrogations créatrices.
Je connais Anais Nin de nom mais je n'ai jamais lu ses journaux. J'ai trouvé que cette BD était un excellent moyen de faire sa connaissance. On y découvre une femme sensible, complexe et perpétuellement en questionnement sur la créativité, sur sa relation aux autres et particulièrement aux hommes.
Le propos du livre est sublimé par le style graphique de Léonie Bischoff qui insuffle à ses pages un vent de poésie, de sensualité et de douceur, à l'image de son héroïne et de ses multiples facettes. Chaque page est une prouesse visuelle et mérite de longues minutes d'attention. C'est tellement fluide et expressif ! L'onirisme qui se dégage des illustrations nous permet d'être en empathie totale avec l'héroïne. J'ai été subjuguée comme rarement !
En découvrant ce roman graphique j'ai eu l'occasion de faire deux belles rencontres : Anais Nin, une artiste libre et sensuelle dont je vais m'empresser de découvrir ses journaux et Léonie Bischoff une autrice brillante dont je me promets de suivre le travail de très près.
Sans conteste l'une de mes découvertes préférées de 2020.
