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Critique de Davalian


Ce dixième album de la série La jeunesse de Blueberry marque l'arrivée de Michel Blanc-Dumont au dessin, pour une collaboration de longue durée aux côtés de François Corteggiani.

La première de couverture a pu laisser la place au doute. Est-il vraiment nécessaire de continuer l'aventure ? Est-ce vraiment notre Blueberry que nous apercevons équipé de grosses lèvres ? Force est de constater que cette premières impression n'est pas révélatrice de ce qui va suivre.

Le style du dessinateur, spécialisé dans le domaine, fait ici clairement la différence avec le trait de Colin Wilson. le dessin est ici académique, maîtrisé dans ses moindres détails. Dès la première planche, nous plongeons ici dans un autre monde qui va nous accompagner d'un bout à l'autre de l'album. La couleur parvient ici à encore sublimer le style. Tout cela est beau, très beau !

L'histoire démarre tranquillement et pourra interroger le lecteur en cours de route. Il faudra attendre un peu avant d'obtenir des réponses à ses interrogations. Ce temps est pourtant utilement mis à profit. S'il est toujours question de la prise de la ville d'Atlanta, les moyens mis en oeuvre sont radicalement différents et promettent un certain nombre de rebondissements… et le ton est ici clairement déjà donné.

La solution Pinkerton marque un nouveau temps dans la série qui gagne ici clairement au change.
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