Si l'on considère un être humain comme un personnage de roman, il suffit de bien presser l'humain, pour l'imprimer. Katharina Blum, l'être de papier d'
Heinrich Böll, l'opprimée de la presse, a fini par imprimer, par comprendre qu'elle ne peut échapper aux journalistes qui s'acharnent sur elle, qu'elle ne peut se défendre de tous ceux qui gravitent autour d'elle (auteur, lecteur, autres personnages), elle, prise aux pièges de ces pages
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