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Critique de VirginieDoucet
J'aime bien les livres de Jean-Philippe Blondel. Fluides. Simples. Réalistes. Humains.
Ici encore, on retrouve des personnages qui pourraient être de notre famille, notre entourage. Et c'est ce qui les rend attachants : leur proximité et leur banalité.
Dans cet opus, on accompagne un jeune homme de 18 ans dans les mois qui suivent son bac. Désertion du nid familial. Montée à Paris. Indécision quant à l'avenir, aux amours, aux amis. Ce moment où tout semble possible et l'est d'une certaine manière.
Rencontre avec un homme plus âgé qui vit par procuration, sur de vieux rêves.
Ensemble ils vont faire un petit bout de chemin et se libérer mutuellement.
Une belle histoire d'amitié, un portrait au vitriol du monde de l'édition et un instantané de l'entrée dans la vie adulte.
Ici encore, on retrouve des personnages qui pourraient être de notre famille, notre entourage. Et c'est ce qui les rend attachants : leur proximité et leur banalité.
Dans cet opus, on accompagne un jeune homme de 18 ans dans les mois qui suivent son bac. Désertion du nid familial. Montée à Paris. Indécision quant à l'avenir, aux amours, aux amis. Ce moment où tout semble possible et l'est d'une certaine manière.
Rencontre avec un homme plus âgé qui vit par procuration, sur de vieux rêves.
Ensemble ils vont faire un petit bout de chemin et se libérer mutuellement.
Une belle histoire d'amitié, un portrait au vitriol du monde de l'édition et un instantané de l'entrée dans la vie adulte.
